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Djamel Mazouz, le coucou

Flagrant délit de plagiat pour Djamel Mazouz, publié dans le dernier numéro de la revue. Je viens effectivement de découvrir, ayant été prévenue par d'autres sources, que ce Djamel a plagié au moins deux auteurs et publie leur textes sous son nom sur de nombreux sites du web ainsi que dans des revues. Je me dois donc de rétablir la vérité, du moins celle que je sais, ainsi en cherchant sur le net j'ai découvert que les textes "Un goût de violon" et "Il est des jours" sont des extraits de textes de Franck Nicolas http://franckreveur.canalblog.com/ 

Il reste deux textes dans la revue Immigré, mon frère et Une gare la nuit... dont je ne connais pas encore le ou les véritables auteurs. On trouve des textes sur pas mal de sites et en revue sous le nom de Djamel Mazouz... Celui-ci mis devant les faits, accuse d'autres personnes, continue à mentir, à brouiller les pistes aussi je rectifie le numéro 24 et on n'en parle plus !

 

 

 

Commentaires

  • Mon feu !
    Qu’il est bô ce Frank, lui que je lis depuis presque un an. Inorgueilleux, humble, fort, sage, tout tant de vrai !

    Oui, écrire comme un exutoire, par instinct d'équilibre, à tâtons entre les ténèbres et la passion. Pour soi seul, par pour le piédestal ni le prestige ni les honneurs. Écrire pour se dénoyer, pour immerger jusqu’aux fonds, se noyer un peu et, remonter. Pour tomber de la falaise, pour se hisser la face aux vents les mains ouvertes. Pour mourir la honte, toucher la peur, trouver la paix comme la douleur. Écrire parce que sans, on mange avec l'eneferminable, le sempiÉternel saboteur, la trop longue journée sans lumière. Le faire dans le noir, à l'ombre, à l'écart, à l’abri, le cœur embraisé. Ouvrir les vannes, offrir ensuite à l'Autre, l'anonyme lecteur, le passager éphémère. Faire un grand écart.
    Sourire… le cou penché vers le bonheur.


    Mais... hum hum (raclement de gorge) je n’irai pas visiter Djamel Machin. Ma curiosité choisit ses limites, invente ses frontières. Je ne suis pas si sage que Frank et, la colère me pénètre de savoir ce voleur menteur errer en s'appropriant le souffle des autres. Je sais ce n'est pas joli le mépris mais il est là, ici. PouF ! Fugace il part déjà. J'ai du mal à tendre la main aux lâches, aux paresseux, aux perfides qui mangent, dévorent, qui se pourlèchent en usant de la salive de quelqu'un qui a su goûter l'amer l'acide le sucré comme le salé. Je sais.. ce n'est pas joli le mépris mais il est là, parfois. PaF ! Fugace il est déjà parti.

  • Bonjour

    Ce qui est étrange c'est que la famille MAZOUZ s'est fixé comme objectif de passer a la publication de "leurs poèmes" en passant par l'édition numérique. Ainsi On trouve un poème intitulée "Belle Marquise" dans plusieurs liens
    par diverses personnes MAZOUZ.
    Auteur Djamel
    http://poesie.webnet.fr/vospoemes/poemes/djamel_mazouz/ce_soir_belle_marquise.html
    Même texte Auteur NOURISLAM MAZOUZ
    http://www.edveri.com/siteEDVERI/5EDVERIlesoeuvres/EDVERIlitterature/poesie/fichesdelivre/un_jour_j_ai_reve/un_jour_j_ai_reve(extrait).pdf
    AUTRE LIVRE de LAMIA MAZOUZ
    http://www.simpleedition.com/index.php?main_page=product_info&products_id=296

    Un seul et même texte avec 3 publications et 3 auteurs de la même famille. Djamel Mazouz se dit poète...
    Les poètes ont honte d'un tel comportement

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