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  • Mon ombre épaisse et lente de Juliette Schweisguth

    J'apprends indirectement à l'instant via un mail de Thierry Cazals que Juliette Schweisguth, dite "Clochelune", n'est plus.

    C'est arrivé en fait en juillet et je ne l'ai pas su, je connaissais peu Juliette mais j'avais eu de bons échanges avec elle via Francoplois et je l'avais publiée dans le numéro 15 (Les moments de Liette).

    Ce mois de juillet 2011 a vu partir deux de mes amie(s) poètes, Ben Kabahn et Yann Orveillon, et voilà donc que Jullette, la toute jeune Juliette, à peine un an de plus que Beb, s'est envolée aussi.

    Belles pensées d'amour pour elle et toutes celles et ceux qui nous précèdent dans ce voyage, un voyage qui, j'en suis certaine, continue !

    J'en profite donc pour passer le message de Thierry Cazals :

    "le vœu de Juliette Schweisguth,
    dite "Clochelune"
    (1973-2011)
    de voir ses haïkus publiés
    est enfin exaucé !

    MON OMBRE EPAISSE ET LENTE
    paraîtra le 3 mai 2012
    (jour-anniversaire de Juliette)
    aux éditions Pippa.

    Merci de diffuser au maximum
    le bon de souscription
    ci-joint autour de vous !

    Je suis heureux que la poésie de Juliette puisse enfin fleurir
    aux yeux du plus grand nombre…

    De tout cœur
    Thierry Cazals"

    Bon de souscription : bon_souscription_Juliette[1].pdf

  • N°41 lu par Christian Saint-Paul

    Toujours égale à elle-même la revue « NOUVEAUX DELITS  Revue de poésie vive » fait paraître son n° 41 (6 € abonnement 25 € pour 4 n° , chèque à adresser à Association Nouveaux Délits Létou -  46330  Saint-Cirq-Lapopie) avec des illustrations originales de Karolinda ( http://karolinda.pagesperso-orange.fr), un recueil de haïkus du cercle japonais Seegan sur l’Après Fukushima, des textes d’Alain GOURHANT, de Basile ROUCHIN, du belge Timotéo SERGOÏ. Une poésie militante et pertinente qui réchauffe l’amitié des peuples comme Cathy GARCIA, inlassable revuiste, en a le talent. La présentation est réussie avec une économie de moyens et s’améliore encore puisque les exemplaires sont maintenant massicotés. Un moment agréable et fort assuré à la lecture de cette revue.

     

    Christian Saint-Paul

    http://www.lespoetes.fr/emmission/emmission.html

     

     

     

  • Nouveaux Délits N°41 lu par Georges Cathalo

    Note parue sur : http://revue-texture.fr/spip.php?article486

     

    lecture-flash-2.jpg


     

    Sans se présenter sous la forme d’un « numéro spécial », cette livraison est une singularité, même si elle s’inscrit dans le droit fil de la ligne éditoriale impulsée par Cathy Garcia. En effet, après un original éditorial, on peut y lire des ensembles de textes cohérents autour de ce que l’on pourrait nommer : la menace nucléaire et la survie sur la planète. Avec « Après Fukushima », on peut lire une brassée de haïkus japonais présentés par Seegan Mabesoone, pour qui « la menace nucléaire n’est comparable à aucune autre ». Suit un bel ensemble de poèmes d’Alain Gourhant extraits de « Poésie du désastre et de la guérison ». De la même veine mais d’un tout autre aspect formel, viennent ensuite de troublants poèmes de Basile Rouchin et une étonnante suite de Timoteo Sergoï. L’ensemble de cette livraison est de bonne facture et la lecture est aérée par les discrets accompagnements graphiques de Karolinda et par d’opportunes citations. Allons, suivons Cathy Garcia qui nous adresse ce vœu des Indiens Navajos : « Hozho ! Que le monde soit hozho ! » c’est-à-dire qu’il nous apporte à la fois beauté et santé.

     

    GC

     

     

  • Vient de paraître : Le diagonaute amouraché de Timotéo Sergoï

    Vous en avez aimé les extraits dans le dernier numéro de la revue ? Le NOUVEAU recueil de textes de Timotéo Sergoï est sorti aux éditions Fram, à Liège.

    couv diagonaute 001.jpg


    Il s'agit d'une correspondance imaginaire entre une certaine Rose Vinaigre et un incertain Monsieur Confetti. On y parle d'amour et de voyage, de guerre, d'enfance et de poésie, en une verve souriante et désespérée. Quoi de mieux que de sourire devant les blessures ?

     

    Rose, je mourrai de guerre  (Le savais-tu ? Le savais-tu ?)

     

    Et je mourrai idiot, ignorant tout de l’art de tuer.

     

    Un char me passera sur le corps et ca fera un grand

     

    « SCRNOPRTUSNILZTSCHAK »

     

    (Quatre syllabes qui n’existent pas en français)

     

     

     

    Rose, je mourrai de vent (Le savais-tu ? Le savais-tu ?)

     

    Et je mourrai idiot, ignorant tout de l’art de t’aimer.

     

    Un cerf-volant m’emmènera, puis je pourrai tomber

     

    Et ca fera un grand  « AAAAAAAAAAAAAAAAAAAKRNAK »

     

    (Deux syllabes qui n’existent en aucune langue)

     

     

     

    Rose, ô Rose, je mourrai de silence (Le savais-tu ? Le savais-tu dans ta science?)

     

    Et je mourrai idiot, ignorant tout de l’art de décéder.

     

    Seul au milieu de l’Antarctique, gelé, cassé, brisé, ça fera un grand   " ________________________________________"

     

    De ces mots qui n’existent qu’en la langue des Augustes.

     

     

    11 € + 2€ port

    Pour commander envoyer un mail à :

    stephane@cheminsdeterre.be