Centième Soliflore ! - Antoine Durin
Détail du tableau Le départ à l’école de Philippe Durin
Qu’importe la hauteur de la porte de la maison
car elle ne reçoit que des ombres courbées.
Ensuite, elle ferme les fenêtres de bonne heure
pour ne pas les projeter dans les arbres dénudés.
Il y a des soirs où elle a vu pleurer des sèves noires
le long des méandres de l’écorce du temps.
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